Parti du Québec solidaire-PQS (parti politique provincial)

Un article de la Mémoire du Québec (2022).

  • Éphémérides -


1960 Fondation du Rassemblement pour l'indépendance du Québec (RIN).
1967 Fondation du Mouvement souveraineté-association par René Lévesque.
1968 Formation du Parti québécois par la fusion du Rassemblement pour l'indépendance nationale, du Rassemblement national (RN) et du Mouvement Souveraineté-association (MSA). Dissolution du Rassemblement pour l'indépendance du Québec.
1995 Françoise David organise la marche «Du pain et des roses» qui manifeste mondialement la lutte des femmes. Le Nouveau parti démocratique - Québec-NDPQ change de nom et adopte celui de Parti de la démocratie socialiste (PDS).
2002 (15-16 juin) Lors d'un congrès tenu les 15 et 16 juin 2002 à Montréal, l'Union des forces progressistes (UFP) fusionne avec le Rassemblement pour l'alternative progressiste, le Parti de la démocratie socialiste et le Parti communiste du Québec pour former le Parti de Québec Solidaire.
2003 (14 avril) Aux élections générales du Québec l'UFP, dont le porte parole est Amir Hhadir, présente 73 candidats et le Parti vert 36 ; ces deux partis n'élisent aucun députés mais reçoivent ensemble 56 000 voix.
2004 (Mai) Fondation du mouvement Option citoyenne par, entre autres, Françoise David et François Saillant.
2006 (4-5 février) Congrès de fondation à l'Université de Montréal-UdeM du Parti du Québec solidaire par la fusion de l'Union des forces progressistes (UFP), et Option citoyenne (OC) ; à sa naissance, ce parti, résolument de gauche (socialiste), stratégiquement souverainiste, n'a pas de président mais deux porte-parole, une femme, Françoise David, et un homme, Amir Khadir.
2017 (21 mai 2017) Lors de son congrès, le parti rejette toute alliance avec le Parti québécois-PQ proposée par Jean-François Lisée, le président du Parti québécois, pour les élections générales prévues se tenir en 2018. Gabriel Nadeau-Dubois souhaite que le parti se transforme en mouvement.
2021 (20 novembre 2021) Le parti promet de réduire de 55% les émissions des gaz à effet de serre-GES d'ici à 2030 ; la cible actuelle est de 37,5 % proposée par La Coalition Avenir Québec-CAQ dirigée par le premier ministre François Legault. Les mesures annoncées par le Parti Québec solidaire. un certain Marc Bonhomme, participant à l'assemblée du parti québécois, a notamment suggéré de «sortir du capitalisme pour mettre en place une économie dirigée «afin de faire face è la crise climatique ; le m^me intervenant a réclamé la fin des voitures à essence et électriques pour faire place uniquement au transport en commun; Un autre intervenant, Oivier Huard a plaidé en faveur d'une position réaliste» en appuyant la cible de 55 % ; selon lui, si le parti place la barre trop haut «le monde ne nous suit pas».


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