Leclair (Guy)

Un article de la Mémoire du Québec (2022).

En octobre 2011, il est accusé à Laval de garde et contrôle d'un véhicule automobile alors qu'il était en état d'ébriété.
Le 23 novembre 2011, il est expulsé temporairement du caucus des députés du Parti québécois après qu'il eut admis être à la source de fuites qui avaient relancé les doutes quant au leadership de Madame Marois, présidente du Parti québécois ; ce qu'il nie.
Le 24 novembre 2011, Madame Marois l'expulse du Parti parce qu'il aurait eu des conversations au sujet de son avenir politique avec François Legault, le président du Parti de la Coalition Avenir Quévec-CAQ.
Le 7 avril 2014, il remporte l'élection dans le comté de Beauharnois sous la bannière du Parti québécois.
En juillet 2018, il est appréhendé et accusé de conduite d'un véhicule automobile avec les facultés affaiblies et refus d'obtempérer à un ordre d'un agent de la paix ; appelé à se soumettre à l'alcootest, Leclair aurait soufflé de façon incorrecte à plusieurs reprises dans l'appareil. Leclair nie l'accusation qui pèse contre lui. Jean-François Lisée refuse de lui demander sa démission en affirmant «qu'en droit criminel canadien, un accusé est présumé innocent jusqu'à ce qu'il soit reconnu coupable par un juge ou par un jury ; au Canada, c'est à la Couronne de prouver la culpabilité hors de tout doute raisonnable».
Le 5 septembre 2018, Monsieur Leclair annonce qu'il ne sera pas candidat aux élections provinciales du 1er octobre 2018.
Le 7 septembre 2019, en page 18, Le Journal de Montréal rapporte que monsieur Leclair a reconnu sa culpabilité aux accusations de conduite avec facultés affaiblies par l'alcool qui pesaient contre lui depuis juillet 2018 et qu'il été condamné à payer une amende de 3 000 $ en plus de voir son permis de conduire suspendu pour 18 mois.

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